(lien
Registre des faibles, 43 chants
éditions d'en bas, Collection bilingue, 2012
Coédition Centre de Traduction Littéraire de Lausanne et Service de Presse Suisse
Traduit de l'italien par Thierry Gillyboeuf
Thierry Gillybœuf. Né en 1967, il est un écrivain et traducteur français de nombreux écrivains et poètes anglais, américains et italiens : Pico Iyer, E. E. Cummings, Wallace Stevens, Marianne Moore, William Carlos Williams, Les Murray, Salvatore Quasimodo, Italo Svevo, Leonardo Sinisgalli, Rudyard Kipling, Henry David Thoreau, Ralph Waldo Emerson, Eugenio De Signoribus, Fabiano Alborghetti Derek Walcott, Herman Melville, etc. Il est, d’autre part, l’auteur de préfaces et d’ouvrages critiques. Plusieurs ouvrages collectifs ont paru sous sa responsabilité autour de Remy de Gourmont (Cahiers de l’Herne), Georges Perros (La Termitière), et E. E. Cummings (Plein Chant) notamment.
Registre des faibles, 43 chants
éditions d'en bas, Collection bilingue, 2012
Coédition Centre de Traduction Littéraire de Lausanne et Service de Presse Suisse
Traduit de l'italien par Thierry Gillyboeuf
Thierry Gillybœuf. Né en 1967, il est un écrivain et traducteur français de nombreux écrivains et poètes anglais, américains et italiens : Pico Iyer, E. E. Cummings, Wallace Stevens, Marianne Moore, William Carlos Williams, Les Murray, Salvatore Quasimodo, Italo Svevo, Leonardo Sinisgalli, Rudyard Kipling, Henry David Thoreau, Ralph Waldo Emerson, Eugenio De Signoribus, Fabiano Alborghetti Derek Walcott, Herman Melville, etc. Il est, d’autre part, l’auteur de préfaces et d’ouvrages critiques. Plusieurs ouvrages collectifs ont paru sous sa responsabilité autour de Remy de Gourmont (Cahiers de l’Herne), Georges Perros (La Termitière), et E. E. Cummings (Plein Chant) notamment.
REVUE DE PRESSE (EXTRAITS)
Le Registre des faibles est un livre compact, cohérent et dérangeant : ses deux aspects si antithétiques, à savoir la radiographie quasi imperturbable, quasi scientifique d’une réalité, et en même temps l’engagement presque compassionnel, presque compatissant, de cette même réalité transformée en bref fragment rythmique, cohabitent dans ces textes, blessent et caressent à la fois.
Fabio Pusterla
43 chants pour un fait divers terrifiant analysé à travers le langage et la structure d’un poème en vers libres.
David Collin, RTS, Entre les lignes
L'auteur nous dit être parti d'un fait divers qui s'est produit en 2006, et on le croit. Mais sa démarche est, à l'instar de celle de Flaubert ingérant le couple Bovary, une démarche poétique, c'est-à-dire dans le cas présent une tentative pour arracher au factuel et au simple dire un drame inconnaissable. Alborghetti, par la grâce et la force de son scalpel, réinvente la rage contenue des grands poètes italiens.
Claro, Le Clavier Cannibale (lien)
La poésie de Fabiano Alborghetti sauve cette histoire du sordide par la grâce du rythme, du jeu des voix qui se répondent sans s’entendre. Son regard opère «une radiographie quasi imperturbable, quasi scientifique d’une réalité», tout en restant «presque compassionnel, presque compatissant», dit Fabio Pusterla en préface. Alborghetti a fréquenté plusieurs années les immigrants clandestins de la ceinture milanaise avant de leur donner une voix. Il inaugurait cette «poésie-reportage» qu’il pratique ici, ni sociologique ni effusive, ancrée dans le réel. La version bilingue permet d’en deviner la musique singulière. I. R.La télé est au centre de leur vie,de leurs rêves
Le Temps (lien)
Le Registre des faibles est un livre compact, cohérent et dérangeant : ses deux aspects si antithétiques, à savoir la radiographie quasi imperturbable, quasi scientifique d’une réalité, et en même temps l’engagement presque compassionnel, presque compatissant, de cette même réalité transformée en bref fragment rythmique, cohabitent dans ces textes, blessent et caressent à la fois.
Fabio Pusterla
43 chants pour un fait divers terrifiant analysé à travers le langage et la structure d’un poème en vers libres.
David Collin, RTS, Entre les lignes
L'auteur nous dit être parti d'un fait divers qui s'est produit en 2006, et on le croit. Mais sa démarche est, à l'instar de celle de Flaubert ingérant le couple Bovary, une démarche poétique, c'est-à-dire dans le cas présent une tentative pour arracher au factuel et au simple dire un drame inconnaissable. Alborghetti, par la grâce et la force de son scalpel, réinvente la rage contenue des grands poètes italiens.
Claro, Le Clavier Cannibale (lien)
La poésie de Fabiano Alborghetti sauve cette histoire du sordide par la grâce du rythme, du jeu des voix qui se répondent sans s’entendre. Son regard opère «une radiographie quasi imperturbable, quasi scientifique d’une réalité», tout en restant «presque compassionnel, presque compatissant», dit Fabio Pusterla en préface. Alborghetti a fréquenté plusieurs années les immigrants clandestins de la ceinture milanaise avant de leur donner une voix. Il inaugurait cette «poésie-reportage» qu’il pratique ici, ni sociologique ni effusive, ancrée dans le réel. La version bilingue permet d’en deviner la musique singulière. I. R.La télé est au centre de leur vie,de leurs rêves
Le Temps (lien)